Le réveil est difficile pour Maxime de Retz, homme d'affaires de 43 ans. En ouvrant les yeux à sept heures un matin, il découvre qu'il est dans le corps d'un adolescent. Bientôt, sa situation empire : on essaie de l'assassiner...
La nuit des cannibales, un roman qui change littéralement de
ce que Gabriel Katz nous propose en fantasy ! J’étais intriguée de le
découvrir dans un autre genre (sachant que je possède aussi « N’oublie pas
mon petit soulier » que je me réserve pour la période hivernale).
J’étais très heureuse de le recevoir, surtout que Gabriel a
pris soin de dédicacer chaque roman envoyé aux partenaires ! J’ai été
touchée par cette attention en lien avec la maison d’edition J
Ayant terminé ce livre il y a deux mois, mon avis est bref et ne comporte que ce qui m'a le plus marqué dans cette lecture...
Ayant terminé ce livre il y a deux mois, mon avis est bref et ne comporte que ce qui m'a le plus marqué dans cette lecture...
L’histoire tourne autour de Max, un quadragénaire qui un
matin va se réveiller dans le corps d’un adolescent de 15 ans. Il va vite
découvrir que quelque chose ne tourne pas rond, et que des personnes sont à sa
recherche pour l’éliminer.
Obligé de vêtir cette apparence, Max va également devoir
replonger dans l’état d’esprit d’un adolescent, jusqu’au jour où il va
découvrir que d’autres personnes autour de lui vivent la même chose. Très vite,
il va s’échapper de ses traqueurs et découvrir le monde des Cannibales…
Et bien, deux mois après l’avoir lu, qu’en reste-t-il ?
Tout d’abord, ce qui me vient à l’esprit, c’est l’humour permanent ! En
effet, qu’est ce que j’ai pu rigoler à
travers cette histoire folle dingue ! Toutes les trois lignes probablement !
Ceux qui connaissent cet auteur sont déjà familiers avec son humour
décalé, mais le lire dans un thriller fantastique n’en était que plus jouissif !
On ne s’ennuie absolument pas dans ce roman, l’action est omniprésente,
les situations sont cocaces , et on prend plaisir à découvrir ce monde de
Cannibales.
Cependant, le seul bémol pour moi a été le manque d’empathie
pour le héros principal. Je ne sais pas si l’auteur a voulu en faire un
antihéros ou juste un héros normal, mais à de nombreuses reprises, je ne me souciais
pas de son sort. Et vous savez certainement que l’attachement aux personnages
est pour moi un point essentiel dans mes lectures.
Ainsi, pour moi, La nuit des Cannibales est un bon roman de
divertissement, qui permettra à tout lecteur de passer un moment agréable, mais
je préfère de loin ses romans dans l’univers de Woltan.
Je remercie vivement les éditions PYGMALYON pour l’envoi de
ce service presse !
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